A.N.T.
Association Nationale des Turfistes
Association Loi 1901 - J.O du 13 mars 1996
L'ACTUALITE
DES COURSES
VUE PAR L'A.N.T.
Mai 2016
Lettre aux
adhérents
n° 47
Juillet 2016 Lettre aux
adhérents
n° 48
Mai 2017
Lettre aux
Adhérents
n° 53
Mars 2018
Lettre aux Adhérents
n° 58
Mai 2018
Lettre aux Adhérents
n° 59
Juillet 2018
Lettre aux Adhérents
n° 60
Janvier 2018
Lettre aux Adhérents
n° 57
Septembre 2018
Lettre aux Adhérents
n° 61
01/09/2015
Lundi 24 août à Moulins, P.-C. Boudot dispute la victoire dans le Prix de Moladier en selle sur NAVARONE et se relève, mais il s'est trompé de poteau et termine finalement 5e. Les commissaires l'ont déclassé et sanctionné par une mise à pied de dix jours. Mais une heure et demie plus tard les commissaires ont levé la sanction, estimant que la signalisation de l'arrivée n'était pas très claire. Cependant les parieurs qui avaient joué NAVARONE (favori à 2/1) n'ont pas été remboursés. Le PMU n'aurait-il pas dû faire un geste, puisque la responsabilité des organisateurs a été reconnue ?
Déclaration d'Eric Hintermann, Président de l’Association Nationale des Turfistes (publiée dans LE VEINARD du samedi 29 août 2015 :
SANCTIONNER LES COMMISSAIRES
Les commissaires de Moulin, en décidant d’annuler la sanction de dix jours de mise à pied qu’ils avaient infligée au jockey Pierre-Charles Boudot pour s’être trompé de poteau, justifient une fois de plus la demande de l’ANT de commissaires professionnels assermentés. Car ils ont donné l’impression de céder à des pressions pour que le jockey puisse participer à des préparatoires à l’Arc de Triomphe. Tant pis pour les turfistes qui sont une fois encore lésés par des décisions incohérentes. Les preneurs du cheval dont le cavalier a été sanctionné (à tort ?) n’ont même pas été remboursés. Cette affaire cause un réel malaise dans la communauté turfiste. Ce sont les commissaires qui devraient être sanctionnés pour avoir porté atteinte au sérieux des courses. Et en nuisant ainsi à la filière hippique.